Coacher un CODIR ?
Retour d’expérience client
Un de nos clients traverse depuis trois ans des crises, qui dérégulent quotidiennement son fonctionnement et son pilotage. Pour enrayer le phénomène, le CODIR de l’entreprise initie une démarche auprès d’un coach d’équipe.
Quelle a été la mission du coach d’équipe FARAL dans cette situation ?
Permettre au CODIR de retrouver des moyens d’actions concrets. Tel est le contrat, et le retour d’expérience que nous partageons ici.
Comment cela s’est passé ?
Dans un premier temps, l’objectif était de permettre au CODIR de prioriser les crises. En surface, les répercussions sur l’entreprise paraissaient évidentes. Pour autant, l’exercice a révélé qu’elles se cumulaient et empêchaient de se saisir du sujet avec efficacité.
Finalement, la crise était interne ! Un manque de confiance régnait entre le comité et les salariés. Le travail du coach a libéré la parole et offert à chacun un espace d’expression sécurisé, sans jugement. Le CODIR rencontrait des difficultés à fédérer car eux mêmes étaient dissous dans un océan d’irritants.
Face à ce constat, l’étape suivante a porté sur l’évolution et le partage des valeurs de l’entreprise.
L’objectif ?
Retrouver une direction commune et redonner du sens au quotidien. De l’animation collective a émergé un collectif soudé, doté d’une vision plus claire de sa marge de manœuvre. In fine, cela a permis au CODIR de revoir la répartition des périmètres de travail de chacun des membres et démultiplier les marges de manœuvre. L’intervention du coach a facilité l’émergence
d’actions concrètes. Des actions déployées par des salariés impliqués car satisfaits de voir que l’entreprise faisait « enfin quelque chose »
Pouvons nous affirmer que l’intervention du coach est un antidote miraculeux ?
Non, bien sûr, mais dans cette intervention, la méthodologie et les outils du coach ont été la source de l’élan du CODIR. C’est toute une organisation qui s’est dynamisée à travers le déploiement d’actions concrètes. Certaines ont été couronnées de succès, d’autres non.
L’organisation est redevenue « vivante », et est sortie de son fatalisme en retrouvant des moyens d’action.
Le contrat du coach est rempli.
👉 Article rédigé par Emmanuel ALBA